Dieu peut-il être un héros de bande dessinée ? Le médium est-il adapté pour aborder la question divine ?
Pour l’équipe de K.BD, ces questions ne se posent pas. Le choix de ce thème n’a suscité aucun problème car, que l’on soit croyant ou pas, Dieu est un sujet universel, qui concerne tout le monde. Et la bande dessinée un art assez mature pour l’aborder de manière pertinente.
Dans les œuvres respectives de Marc-Antoine Mathieu et Osamu Tezuka, Dieu et Bouddha sont incarnés, représentés par le physique qu’on leur connaît depuis toujours (un vieux barbu et un gros chauve). Van Hamme et Rosinski ont choisi une représentation plus abstraite du divin : le grand monolithe noir. Symbole issu de 2001 : l’Odyssée de l’espace, qui a le mérite d’éviter tout clivage, chacun y projetant ses propres représentations…
Une synthèse faite par bibi…
0 commentaire à “Chronique K.BD – Le grand pouvoir du Chninkel”